Taxis – Cuba

Suite à l'embargo commercial et financier décrété sur Cuba depuis 1962, le parc automobile s'est rétrouvé soudainement figé sur des modèles américains réputés robustes et faciles à réparer. Les Ladas russes puis les Toyotas japonaises ont progressivement contribué à renouveler ces véhicules à bout de souffle. Face à une économie de survie, le gouvernement cubain avait réquisitionné le parc automobile constitué de ces vieilles américaines et attribuer alors des licences à leurs propriétaires.
Les taxis collectifs furent un succès mais avec la légalisation du dollar puis l'ouverture timide à l'économie de marché, ils sont alors devenus peu accessibles aux plus démunis. La course à 1 peso devient progressivement une course pour touristes au prix fort.

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